DE QUOI PARLONS NOUS 

Les termes d’addictions, dépendances, compulsions désignent une répétition d’actes susceptibles de provoquer du plaisir, mais marqués par l'attachement extrême à une substance ou à une situation recherchée et consommée avec avidité.

Nous distinguons les addictions avec drogues de celles sans drogues, aussi appelées addictions comportementales.

Les addictions avec drogues regroupent les drogues licites (tabac, alcool, médicaments, nourriture, sucre …) et les drogues illicites (cocaïne, ecstasy, héroïne…les substances dopantes telles que les amphétamines).

Les drogues comportementales comprennent le jeu pathologique, l’addiction au travail, les achats compulsifs, les cyberaddictions, les addictions au sport, la sexualité compulsive, boulimie et son pendant l'anorexie et d'une certaine façon la dépendance affective.

L’addiction est une pathologie moderne, sous forme de rapport à la jouissance immédiate qui s’est beaucoup développée aujourd’hui, l’addiction est une maladie mais si l’on devient addict, ce n'est que pour une substance ou un comportement qui nous fait plaisir,

petit à petit on bascule dans la souffrance psychique c'est un phénomène progressif,

les phénomènes d'apprentissage et d'accoutumance induisent progressivement le manque

              Conflit Intérieur et dissociation 

On dit alors qu’il y a des comportements compulsifs, on observe une dissociation importante qui est le signe d’un conflit intérieur qui peut être de plus ou moins grande intensité. La personne le dit : “c’est plus fort que moi”, “c’est comme si ce n’était pas moi”,… 

Avant de rentrer dans le vif du sujet, je tiens tout particulièrement à rappeler qu’en PNL, nous dissocions ce qu’est la personne de ce qu’elle fait . C’est ainsi que nous ne disons pas que la personne en difficulté avec son addiction est un(e).................................... mais qu’elle a, dans certaines situations de la vie quotidienne des difficultés avec son addiction sa dépendance sa compulsion. L’expérience montre en effet, qu’il est plus facile d’aider une personne à changer son comportement que sa nature ou son identité.

Il est plus pratique et plus utile de présenter le conflit majeur de la personne dans les termes suivants : d’un côté, elle voudrait ne plus avoir ce comportement (ou le maîtriser), de l’autre côté, elle voudrait laisser s'exprimer sa partie dépendante

. Tout se passe comme si deux personnes coexistaient dans le même corps ! En PNL, nous exprimons ceci en disant que la personne est dissociée en une « Personne addictive » et en une « Personne Sobre » Le conflit principal se situe alors entre ces deux personnes.

De nombreuses expressions viennent étayer aisément ce clivage:

• C’est plus fort que moi...

• Je veux ne pas .................... mais je ne peux pas..

• C’est comme si j’avais le diable dans le ventre »

• Il y a l’ange et le démon »
  

Clivage qui correspond bien à la conception que se fait elle-même la personne en difficulté au sujet de ses problèmes. Je n’ai encore jamais rencontré un consultant qui s’oppose à cette manière de voir les choses.

Dans la Thérapie des États Dissociés, nous nous intéressons bien sûr à la Partie Sobre de l’individu (celle qui demande le rdv) mais surtout à la Partie Dépendante !

D’abord parce que cette partie de notre personnalité a déjà été combattue et faire plus encore de la même chose ne modifie pas le résultat , ne produit pas le changement désiré

En travaillant avec l'aide d'un accompagnant en suivant le processus de la Thérapie des États Dissociés, le consultant va vivre petit à petit à l’intérieur de lui une réconciliation étonnante et puissante avec lui-même.

Il va découvrir que cette partie qu’il a tant combattue pendant des années tentait maladroitement de l’aider ! Et que cette partie change, devient incroyablement aidante, comme réalignée aux objectifs de la Partie Sobre

bien évidemment, c’est au travers d’un accompagnement régulier que les résultats se déploient profondément.

 prenez bien en compte que : les séances d’hypnothérapie ne se substituent en aucun cas à un traitement médical.
Vous devez consulter votre  médecin  si votre état le réclame, et seul votre médecin traitant ou le corps médical peut vous accompagner si il y a nécessité de sevrage physiologique  ou émotionnel ( alcool - anorexie - drogues - sucre  ...  et dépression  )

Pour les addictions a ces substances générant des symptômes physiques nous demandons  d’arriver  « sevrés » et de s’abstenir. L’engagement est surtout moral : vouloir s’en sortir et être prêt à s’impliquer... En suivant une prescription médicale . Le sevrage physique est important pour éviter les sensations et syndromes de manque

Le sevrage agit uniquement sur le plan physique, la thérapie opère sur les mécanismes aux niveaux psychique et neurologique.

Je ne peux pas résumer en ces quelques lignes la richesse de cette forme de thérapie. 

vous voulez en savoir plus contactez moi 

Francis Halluin tel : 06 02 71 74 29 

elegancehypnose@gmail.com 

                         Et la dépression dans tout cela

Depuis la première ligne vous vous demandez quand on en parlera ! C'est aussi un état dissocié car la personne n'a pas toujours été dépressive, elle a connu un autre état dont parfois elle ne se souvient même plus.

Si elle vient consulter, c'est que quelque-chose en elle veut sortir de la dépression et retrouver la relation avec les autres, avec le monde, avec la vie. il y a quelque-chose dans sa tête qui inconsciemment fait en sorte de la maintenir dans un état dépressif ( avec des intentions positives, des qualités, un système de valeurs) et avec une stratégie. les techniques d'hypnose et de PNL associées à la Thérapie des Etats dissociés vont pouvoir détricoter et réassocier cette personne qui maintient la dépression et cette personne qui dit oui à la vie.